AGENCE MALIENNE POUR LA PROMOTION D'EXPERTISE ET DE FORMATION AGRICOLE

Mes chers ami (e)s, collègue, amis et connaissance je viens juste d’élaborer un nouveau document voir document d’un document qui retrace la technique de production de semence très rentable et beaucoup plus technologique que classique. Le présent guide que j’ai élaboré à trait à une nouvelle technique qui est de ma propre combinaison des technique innovantes de production de semence de PPIV et les lois/Règles qui régie la production de semence au Mali, cette technique dénommée Gestion Intégrée de la Production de Semence en Riziculture Intensive (GIPSRI) pour l’accroissement de la production rizicole semencière tout en mettant  un accent  particulier sur les normes/règles de production de Semence et les lois qui régie cette production semencière dans notre pays.

Ce guide pratique a été préparé par moi pour aider les Sociétés coopératives d’agriculteurs producteurs de semences riz R1 et R2 à améliorer la qualité et la quantité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali.

 Le guide pratique est à la fois un ouvrage d’information et de formation qui explique en détail les caractéristiques d’une bonne semence et décrit les différentes opérations à réaliser pour assurer une production de semences de qualité et en quantité à travers ma méthode GIPSRI.

 Par ailleurs, le guide doit favoriser une meilleure maîtrise des techniques endogènes de production et de conservation des semences de riz.

La diffusion du guide, sa maitrise par les acteurs et son utilisation par les producteurs doivent se traduire par une amélioration de la production agricole est revenus des paysans semenciers.

Pour toutes personnes qui désire avoir ce document peut mes contacté à : bahoumarou@yahoo.fr pour d’accueillir du document.

 Chers amis partageons les connaissances pour un Développement rural juste harmonieux et durable

Le président de la République Ibrahim Boubacar Kéita est arrivé mardi à Fez pour assister au Salon international de l’agriculture au Maroc (SIAM) qui s’ouvre aujourd’hui dans la ville de Meknès. Accompagné d’une forte délégation comprenant plusieurs membres du gouvernement, il a été accueilli à l’aéroport par le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, en présence d’une forte colonie malienne composée en grande partie d’étudiants.

Le chef de l’Etat assistera à la 9è édition du Salon de l’agriculture en qualité d’invité d’honneur de Sa Majesté le roi du Maroc, cela au même titre que le président guinéen, Alpha Condé.

Dans une déclaration à la presse, le président Keïta a salué l’excellence de la coopération entre le Mali et le Maroc depuis plus d’un demi siècle. « Vous savez avec quel plaisir notre pays a accueilli Sa Majesté lorsqu’elle a décidé d’être présente en personne à notre investiture. De ce jour à aujourd’hui,

beaucoup de très bonnes choses se sont passées entre le royaume chérifien et le Mali. Notre arrivée ici pour participer au salon de l’agriculture à Meknès est le prolongement de cette coopération multiforme que nous avons décidé avec grande détermination de faire prospérer dorénavant entre nos deux pays », a-t-il déclaré.

La mécanisation de l’agriculture représentant encore un réel défi pour notre pays, le président de la République a estimé que l’école marocaine en la matière pourrait nous servir d’exemple. « C’est la raison pour laquelle je suis venu ici avec une forte délégation. Le ministre du Développement rural est là avec toute son équipe. Je crois que dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, nous avons beaucoup à apprendre de nos amis du Maroc. Surtout qu’ils sont disposés au partage. A nous maintenant d’ouvrir les yeux et les oreilles, et d’être assidus », a-t-il dit.

Hier, le président IBK a participé aux assises sur l’agriculture à Meknès organisées en prélude à l’ouverture officielle du salon. Ensuite, le chef de l’Etat s’est rendu à Rabat où il a visité le Centre de formation des imams où un groupe malien se trouve actuellement en formation.

Le président Ibrahim Boubacar Kéita a aussi rencontré la communauté malienne. Au cours des échanges, la situation intérieure du pays a été notamment abordée.

Le Salon international de l’agriculture au Maroc, selon son commissaire Jaouad Chami, a été initié pour faire émerger les tendances fondamentales du secteur agricole. Cette année, les organiseurs attendent plus d’un million de visiteurs et près de 1000 exposants assurant la représentation d’une cinquantaine de pays. La délégation malienne conduite par le ministre du Développement rural, Dr. Bocar Tréta, est composée d’une centaine des professionnels du secteur agricole et des artistes, notamment les danseurs de masques dogons, des joueurs de balafon comme Néba Solo.

Le programme de cette 9è édition prévoit de nombreuses conférences sur la sécurité alimentaire, l’agro-industrie, l’agriculture durable, la recherche. Des trophées seront remis aux meilleurs exposants. Les visiteurs pourront aussi participer à des animations et déguster des produits du terroir.

Les progrès technologiques qui accroissent la productivité du travail sont essentiels à la croissance économique et à la réduction de la pauvreté, tandis que ceux qui accroissent la productivité de la terre sont nécessaires à la conservation des ressources naturelles et de l’environnement. La place prépondérante qu’occupe le riz dans le revenu des ménages, dans  l’alimentation, ainsi que l’utilisation de la terre dans le milieu rural malien, permet de supposer que l’accroissement du rendement du riz auprès des petits exploitants agricoles peut avoir des impacts importants à la fois sur la pauvreté et sur l’environnement au Mali.

Le Système de Riziculture Intensif ou SRI  a ainsi suscité un vif intérêt parmi ceux qui sont concernés par le développement rural durable en général, et par l’agriculture en particulier. Il a été démontré à partir des essais en station de recherche et des expériences des paysans malgaches, au Népal, Tombouctou, Mopti (Bargondaga) et Inde, tel qu’il l'a été aussi dans d’autres pays tropicaux, que le SRI accroît les rendements d’une manière considérable, voire spectaculaire, et cela avec peu ou pas d’achats d’intrants extérieurs. Compte tenu de ces résultats, il était naturellement permis de penser que le SRI pourrait être particulièrement bénéfique aux cultivateurs les plus pauvres au Mali en général et de Mopti en particulier. Cependant malgré les avantages apparents du SRI, la méthode n’a pas encore été largement adoptée au Mali.

Malgré une productivité de la terre élevée, le SRI est encore peu pratiqué dans les zones rizicoles du Mali comme l’ON, l’OPIB, ODRS, ORM, même dans les endroits avec un bon système d’irrigation (PPIV).

Les décideurs à tous les niveaux doivent allouer des ressources publiques consacrées au SRI pour sa vulgarisation auprès des cultivateurs

L’échange d’information et d’expérience entre agriculteurs et Agent de vulgarisation devrait être ainsi encouragé. Malgré l’apprentissage entre agriculteurs toutefois, la présence d’agents de vulgarisation et l’accès à une assistance technique pour une période supplémentaire semblent être encore deux facteurs déterminants pour l’adoption du SRI.

L’agence AMPEFA Sarl offre des formations aux agriculteurs en cette technique rentable et compétitive.

Partenaire financier et collaborateur faite de l’AMPEFA Sarl votre partenaire de tout les jours pour une vulgarisation imminente de la technique SRI.

Oumarou Bah

Journaliste/Blogueur

AVIS ET COMMUNIQUE N°001/AMPEFA/2013

Pour contribuer à accroitre la production et la productivité agricole au Mali par le biais de la formation  à l’amélioration des modes de production des exploitations agricole voila la mission de base de l’Agence Malienne pour la Promotion, d’Expertise et de Formation Agricole (AMPEFA sarl).

L’AMPEFA sarl se fixe comme objectif de Promouvoir une Agriculture durable, moderne et compétitive reposant prioritairement sur la formation des exploitations agricoles reconnues et couvre l’ensemble des activités économique du secteur Agricole : l’agriculture, l’Elevage, la Pêche, la Pisciculture, mais aussi l’Aquaculture, la chasse, la foresterie, la cueillette, la transformation agro-alimentaire, la formation Agro-Sylvo-Pastorale et bien d’autre service.

L’Agence Malienne pour la Promotion, d’Expertise et de Formation Agricole (AMPEFA sarl) à sa Direction Générale à Sévaré et couvre la zone de Mopti-Sikasso-Ségou- Gao et Tombouctou.

Populations Rurales et Urbaines, Groupe Socioprofessionnel, Coopérative Agricole, Elus et Responsable Locaux, cadre des Services Technique déconcentrés, élèves et étudiants des centres de formation professionnelle Agricole faite de l’AMPEFA sarl votre partenaire de tous les jours pour le bien de nos populations.

Pour tous autres renseignements utiles contactés Monsieur Oumarou Mohamed Lamine Agronome de Formation au 79 48 86 06/66 08 65 79. Email : ampefa@yahoo.fr au bahoumarou@yahoo.fr .

Partageons les connaissances Agricoles au profit des communautés rurales pour un développement juste, harmonieux et durable.

                                                                                                           Le Coordinateur de l’AMPEFA sarl

                                                                                                          Oumarou Mohamed Lamine BAH

                                                                                                                    Agronome de Formation

L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole couvre l’ensemble des activités économiques du secteur Agricole et péri agricole notamment l’agriculture, l’élevage, la pêche et la pisciculture, l’aquaculture, l’apiculture, la chasse, la foresterie, la cueillette, la transformation, le transport, le commerce, la distribution, la formation Agro-agro-pastoral et d’autres services Agricoles.

Slogan

« Partageons les connaissances au profit  des communautés rurales pour un développement rural juste, harmonieux et durable  »

   Personnel technique

L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole compte aujourd’hui 10 agents

But – OBJECTIF

L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole  a pour but de promouvoir une Agriculture durable, moderne et compétitive reposant, prioritairement sur les exploitations familiales agricoles reconnues, sécurisées, à travers la valorisation maximale du potentiel agro écologique, des savoir-faire Agricoles et la création d’un environnement propice au développement des ruraux. . Elle vise à contribuer à la souveraineté alimentaire et à devenir le moteur de l’économie nationale en vue d’assurer le bien-être des populations.

 L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricoleà pour mission de contribuer par le biais de la formation à l’amélioration des  modes de production des exploitants agricoles en vue d’accroître la production et la productivité agricole au Mali.

L’objectif principal de l’Agence  est de créer une société rurale juste harmonieuse et durable.

MISSIONS de l’Agence

L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole a pour mission :

• D’initier les populations rurales aux nouvelles pratiques en techniques Agricoles, surtout agro – écologiques et la promotion des femmes, des jeunes et des hommes en milieu rural ;
• Initier les ruraux à la protection de l’environnement et la gestion durable des ressources Naturelles ;
• La création d’emplois et la réduction de l’exode rural ;
  • L’amélioration du cadre et des conditions de vie en milieu rural ;
  • contribuer à l’organisation professionnelle Agricole,
  • Etre un instrument intégral au service de l’appui conseil des exploitants et la vulgarisation des techniques innovantes,  
  • L’augmentation de la production et de la productivité ;
  • L’amélioration des revenus des producteurs ;
  • Contribuer à la  protection des exploitations agricoles contre les risques agricoles à travers des formations ;
  • Incitations des ruraux à la  production de produits exportables et la conquête de marchés.
    • Aider à la mise en œuvre au niveau villageois, des projets de développement intégré ;
    • informer et sensibiliser les ruraux sur la gestion des ressources naturelles ;
    • alphabétiser les ruraux ;
    • L’Agence Privilégie l’installation des jeunes, des femmes et des groupes Vulnérables comme exploitants agricoles, notamment en les appuyant auprès des institutions financières,  pour  leur accès aux facteurs de production et par des mécanismes d’appuis techniques ou financiers  en particuliers.
    • Aider  les collectivités territoriales à  définir des stratégies d’interventions et  de lutte en cas de risque ou de calamité avérée, intégrant un dispositif opérationnel qui est activé chaque fois que nécessaire.
    • Faciliter l’accès des jeunes ruraux aux outils de production Agro-pastoral et promouvoir les activités de commercialisation des produits Agricoles ;
      • Appuyer les collectivités locales à concevoir et mettre en œuvre des programmes de formation des ruraux pour un développement juste harmonieuse et durable.
      • Le développement de l’esprit  d’entreprise pour les ruraux à travers la formation.
      • Estimation des prix denrées sur les marchés de la régions ;
      • Montage et communication en Agriculture ;

 Les organes de l’agence

• Un Conseil d’Administration et de Finance ;
• Un Comité Technique et de Contrôle compose de 3 cellules :

-       Une Cellule de Prospection, de Promotion et d’Evaluation ;

-       Une Cellule d’Information et de Communication ;

-       Une Cellule de Formation Agro-Syilvo-Pastoral ;

 Zone d'intervention de l’Agence

L’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole  intervient partout au Mali en particulier dans les régions suivantes (Mopti, Sikasso, Ségou, Gao et Tombouctou).

Groupes cibles

Les  principaux groupes cibles de l’Agence Malienne pour la Promotion d’Expertise et de Formation Agricole sont : 

• Les populations rurales et urbaines ;
• Les groupes socioprofessionnels ;
• Les associations/coopératives Agricoles ;
• Les élus et responsable locaux ;
• Les cadres des services techniques déconcentrés ;
• Les élèves des centres de formation professionnelle ;

 Oumarou Bah

Journaliste/Blogueur de la Cellule

d’Information et de Communication